Des réflexions sur la civilisation à venir, une selection subjective de lectures/podcast/vidéos, de la bonne humeur et de la vulnérabilité
Je ne sais pas la dernière fois que vous avez lancé un nouveau projet, c’est toujours un grand moment de peur et d’excitation à la fois, un sentiment un peu particulier.
Vous avez déjà rempli un carnet de gratitude ? Moi j’ai dû dresser une liste 1 fois, un matin ou ça n’allait pas mais enfin pour être sincère ce n’est absolument pas une pratique régulière mais j’ai tort. Et avec les différentes guerres que nous voyons se dérouler sous nos yeux, j’ai trouvé intéressant d’en parler aujourd’hui.
Jusqu’à ce matin, je me demandais comment, dans cette newsletter, ne pas traiter du conflit en Israël car il a occupé la grande majorité de mon temps d’esprit disponible et puis j’ai appris la disparition de Matthew Perry ce matin, principalement connu pour son rôle dans la série Friends.
Je suis saoul de cette surabondance d'informations en continu sur un sujet que je ne maîtrise pas et dans lequel il y a tellement de conflits d'intérêts, d'attaches personnelles ou de croyances.
Je ne vais pas vous parler de la pleine lune de ce week-end ni d'astrologie mais on va se parler du sommeil et de son importance. Spoiler : je suis un mauvais élève.
En écrivant ce titre je me dis que je suis un peu trop enthousiaste mais en même temps, c'est essentiel de l'être non? Bref, j'ai une bonne nouvelle et peut-être même que ça vous fera plaisir
Ma dernière newsletter a été gentiment reprise par Kessel pour un post Instagram et j’ai reçu environ 150 insultes de personnes que je ne connaissais pas à la suite de mon post. En même temps, un homme qui parle de patriarcat, c’est forcément compliqué.
Je lis çà et là des hommes qui annoncent fièrement « not in my name », des hommes qui se disent féministes voire d’autres qui affirment être déconstruits. Mais est-ce seulement possible dans notre société d’être un homme déconstruit ?
On me demande souvent les recettes pour qu’un podcast génère de l’audience. C’est la rentrée, alors je vais vous partager un peu les coulisses des podcasts et en particulier répondre à cette question qu’on me pose en permanence.
Je suis le 1er à critiquer les limites du développement personnel parce que c’est devenu un business performatif à l’inverse de tout ce que cela devrait défendre mais je reconnais aussi tout ce que cette littérature a pu m’apporter.